anar optimiste

je suis anarchiste optimiste
mais pourquoi optimiste en fait ? car ça n'a pas toujours été le cas...
pour une raison évidente : le bien gagne toujours au final, même si c'est le bordel
pas évident ?
on en parle.
je suis anarchiste optimiste
mais pourquoi optimiste en fait ? car ça n'a pas toujours été le cas...
pour une raison évidente : le bien gagne toujours au final, même si c'est le bordel
pas évident ?
on en parle.
féminisme, sexisme, machisme... comme la plupart des *ismes, ils déchaînent les passions et ne montrent pas notre meilleur côté.
loin des dogmes et autres règles sociales, un simple témoignage d'un homme qui vit avec une femme, en espérant éviter les généralités car oui, parfois, sont trop lourds ces cons de mecs...
article écrit en totale collaboration avec ma douce
en préambule, je tiens à présenter mes excuses à la gente féminine pour les règles machistes de conjugaison et de syntaxe qui vont être employées dans cet article.
ça s'emballe et ça s'enflamme... elle fait du bruit cette loi.
la fin de quelque chose, certes... mais est-ce vraiment la fin de nos libertés ?
j'ai lu d'excellents articles sur le sujet, et c'est celui de Thuban qui m'a fait réagir.
nous avons commencé l'instruction en famille avec mon aîné il y a maintenant 2 ans et nous aborderons le CM2 à la rentrée 2015.
j'ai toujours envisagé l'ief comme une situation particulière, exceptionnelle et adapté à mon fils dans sa situation. comprenez que je ne considère pas l'ief comme une norme ni un dogme et que je n'ai aucune rancune envers l'éducation nationale (comme je tente de l'expliquer dans mon premier témoignage ).
et pourtant, à l'approche de la rentrée scolaire de mes autres enfants, je prévois déjà de ne pas les envoyer à l'école.
retour sur un choix d'instruction, un choix de vie, un projet familial.
la distance nous sépare de l'autre et définit ce que l'on nomme vulgairement "l'espace vital", la "bulle personnelle". lorsque l'autre s'introduit dans cet espace sans y être invité, le corps et l'esprit se crispent dans un réflexe humain de survie, vieille trace de l'époque ou toutes les créatures voulaient nous bouffer... lorsque l'autre s'en éloigne alors qu'il y est invité, la frustration de l'ego qui veut être aimé se réveille et la peur de l'abandon l'accompagne.
la gestion de cette distance s'est codifiée en convenances et savoir-vivre, la civilisation a atténué le danger de devenir le repas de l'autre. la politesse et la courtoisie nous font croire à l'entente cordiale...
et alors que je m'approchais du tout, je m'éloignais de tous...